Culture
3 octobre 2022
Un groupe d’enseignant.e.s de l’école Safe Drivers PEI. (Photo : Gracieuseté)
Un groupe d’enseignant.e.s de l’école Safe Drivers PEI. (Photo : Gracieuseté)
Mai 2020
Il y a quelques mois seulement, La Voie de l’emploi a présenté un article sur Robyn Gallant et son entreprise naissante en gestion d’événements et planification. Son entreprise se situe dans l’industrie de l’événementiel, un secteur plutôt récent, qui a commencé, estiment les observateurs, à peu près en même temps que le téléphone intelligent. Dans la foulée des mesures de confinement, un très, très, très grand nombre d’événements du type festival a été annulé. Parmi ses projets, Robyn travaillait au sein d’une équipe pour créer un tout nouveau festival en septembre. Elle ne sait pas encore si le projet va voir le jour.
Avril/Mai 2017
Kaneshii Vinyl Press est une nouvelle entreprise qui vient juste de voir le jour à l’Île-du-Prince-Édouard, grâce à l’esprit d’entreprise des deux propriétaires, l’Acadienne de l’Île, Ghislaine Cormier, et Gidéon Banahene, natif du Ghana, qui vit au Canada depuis déjà plusieurs années. «Kaneshii, c’est un mot africain qui veut dire autosuffisance, autonomie, et rentabilité. C’est un clin d’œil aux origines de Gidéon, mais c’est aussi notre philosophie pour cette entreprise», a expliqué Ghislaine Cormier. Impliquée dans le milieu culturel de l’Île-du-Prince-Édouard depuis plus de 15 ans, et ayant grandi dans une famille où père et mère ont évolué sur la scène entrepreneuriale, Ghislaine voyait les disques en vinyle faire un retour. Son ami Gidéon possédait, quant à lui, une grande collection de disques en vinyle et voyait d’un bon œil le retour des disques traditionnels. En plus, il est lui-même entrepreneur.
Kaneshii Vinyl Press est une nouvelle entreprise qui vient juste de voir le jour à l’Île-du-Prince-Édouard, grâce à l’esprit d’entreprise des deux propriétaires, l’Acadienne de l’Île, Ghislaine Cormier, et Gidéon Banahene, natif du Ghana, qui vit au Canada depuis déjà plusieurs années. «Kaneshii, c’est un mot africain qui veut dire autosuffisance, autonomie, et rentabilité. C’est un clin d’œil aux origines de Gidéon, mais c’est aussi notre philosophie pour cette entreprise», a expliqué Ghislaine Cormier. Impliquée dans le milieu culturel de l’Île-du-Prince-Édouard depuis plus de 15 ans, et ayant grandi dans une famille où père et mère ont évolué sur la scène entrepreneuriale, Ghislaine voyait les disques en vinyle faire un retour. Son ami Gidéon possédait, quant à lui, une grande collection de disques en vinyle et voyait d’un bon œil le retour des disques traditionnels. En plus, il est lui-même entrepreneur.
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